Alzheimer magnétisme

Le magnétisme favorise la création de nouveaux chemins neuronaux. Il accélère les connections neuronales et ainsi permet de retrouver une meilleure qualité de vie.

Des la première séance les malades retrouvent des fonctions ou des attitudes qu’ils avaient perdues depuis la maladie d’Alzheimer, comme une capacité à mieux parler ou une anxiété qui diminue.

L’objectif est de contenir les symptômes et de ralentir les effets d’Alzheimer.

Lors d’une séance de magnétisme toutes les zones du cerveau vont être impactées et pas uniquement certaine comme c’est le cas dans un traitement de Stimulation magnétique transcrânienne.

Ce n’est pas le magnétiseur qui décide quelle zone doit être stimulée mais l’énergie elle même qui ira là ou elle doit aller pour stimuler la zone qui en a le plus besoin.

Plusieurs séances sont nécessaires espacées de 2 à 3 semaines pour que les effets soient plus persistants et se maintiennent.

La stimulation magnétique agit également sur l’anxiété et le stress que peuvent subir les personnes malades et n’a pas d’effet secondaire.

Je vous ai amené ma femme, pour essayer quelque chose de nouveau. Dès la première séance j’ai trouvé que ma femme était plus calme, moins stressée et moins anxieuse. Sa qualité de vie (et la mienne) s’est améliorée. Merci de votre aide. Christian

Alzheimer Bayonne

Alzheimer traitement:

Il n’existe pas encore de traitement pour la maladie Alzheimer, seulement pour ralentir sa progression.

Traitements médicamenteux

Les 4 médicaments utilisés favorisent le ralentissement visible mais modéré de la maladie, notamment sur le langage, la mémoire, l’activité quotidienne et le raisonnement.

La prescription de ces médicaments est une option et dépend autant du malade et de l’état d’avancement de la maladie.

Traitement non médicamenteux

La prise ne charge doit se faire de manière globale. Il est important de préserver les capacités de la personne le plus longtemps possible.

Des activités en fonction des goûts peuvent être mise en place, ateliers artistiques, activités physiques, soutien psychologiques…

La stimulation magnétique

La stimulation magnétique transcrânienne semble donner des résultats à un stade précoce de la maladie. C ‘est une technique médicale non invasive et indolore. Elle est couramment utilisée dans le traitement des dépressions sévères ainsi que pour la schizophrénie. Des études portent actuellement sur les AVC, la maladie de parkinson et Alzheimer. Elle consiste à envoyer des impulsions électriques dans le cerveau lorsque la maladie n’est pas trop avancée.

Cette technique de stimulation magnétique est également utilisée pour traiter des dépressions résistantes, des douleurs chroniques, ainsi que des maladies psychiatriques telle que la schizophrénie.

Le champ magnétique ainsi généré  va modifier l’activité neuronale ainsi que la communication entre les neurones dans une zone prédéfinie avec un IRM.

Cette technique permet de stabiliser l’état des patients voire de l’améliorer.

Alzheimer facteurs de risque

Actuellement l’origine de cette maladie est encore inconnue. Cependant les chercheurs ont mis en évidence certains facteurs de risques qui sont liés à la génétique ainsi qu’au mode de vie.

  • L’âge joue un rôle important surtout après 80 ans
  • Les personnes touchées présentent des risques cardiovasculaires
  • Les femmes sont plus touchées que les hommes
  • Tabac, hypertension, diabète…

Prévention d’Alzheimer

Alimentation

L’alimentation de type méditerranéenne est à privilégier. Les personnes consommant du poisson 2 à 3 fois par semaine semblent moins touchées.

Activité physique

L’activité physique quotidienne permet de diminuer les risques vasculaires en diminuant la glycémie, le cholestérol et l’hypertension.

Travailler sa mémoire.

Plus la mémoire sera mise à contribution quotidiennement et plus les symptômes arriveront tardivement.

Préserver la mémoire

Ce qui caractérise la maladie d’Alzheimer est la perte de la mémoire et un déclin  cognitif. Des chercheurs américains ont publiés une étude dans la revue Nature Neurosciences faisant état de l’incidence d’une protéine (NLG1) dans la perte de la mémoire. Elle participe au bon fonctionnement neuronal. Elle est en partie dégradée chez les malades.